His works mark our spirits. Many of them illustrate the covers of certain literary books and occupy a major place in two art books published, one in Morocco and the other in France. Beyond the first impression of an abstract painting, the work of the artist gradually reveals other mysteries. The black lines then become characters and the dots and circles turn into heads and hands. His elastic and dynamic characters are in perpetual motion. Are they playing, are they fleeing or are they in a trance? Through different media such as paper, cardboard, canvas, wood or lately the plastic container where his paintings take the form of miniatures with a mixture of sculpture and installation, the artist uses a wide palette of colors to represent in turn ‘joie de vivre’, light or even melancholy. From his plastic research was also born a series of anonymous portraits as mysterious as they are suggestive. When asked about his universe, he reveals other secrets to us: “My plastic research is centered on the body that I always try to dislocate. I also represent it in the form of letters, signs, lines to make it an element of pictorial calligraphy”.
Since 1992, Mohammed Qannibou has chained individual and collective exhibitions across Morocco, the Arab world and in Europe including France. His work is also part of several institutions and foundations such as CDG (Rabat), ONA Foundation (Rabat), Banque Populaire (Casablanca), Saudi Center for Plastic Arts (Jeddah, Saudi Arabia), Mairie Cubry Les Soins (Vesoul, France ), LACLIM company (Toulouse, France) …
Mohammed Qannibou est né en 1967 à Taza où il vit aujourd hui et enseigne les arts plastiques. En parallèle avec sa profession, il a su développer sa propre technique picturale et donner à sa carrière artistique une dimension nationale et internationale.
Ses œuvres marquent les esprits. Nombres d’entres elles illustrent les couvertures de certains livres littéraires et occupent une place majeure dans deux livres d’art publiés l’un au Maroc et l’autre en France. Dépassée la première impression d’une peinture abstraite le travail de l’artiste dévoile au fur et à mesure d’une observation attentive d’autres mystères. Les traits noirs deviennent alors des personnages et les points et les cercles se transforment en des têtes et des mains. Ses personnages élastiques et dynamiques sont en perpétuel mouvement. Jouent-ils, prennent ils la fuite ou sont-ils en transe ? A travers différents supports comme le papier, le carton, la toile, le bois ou dernièrement le bidon en plastique où ses peintures prennent la forme de miniatures avec un mélange de sculpture et d’ installation, l’artiste utilise une large palette de couleurs pour représenter tour à tour la gaité, la lumière ou encore la mélancolie. De sa recherché plastique est également née une série de portraits anonymes aussi mystérieux, que suggestifs. Lorsqu’on lui pose la question sur son univers, il nous dévoile d’autres secrets : « Ma recherche plastique est axée sur le corps que j’essaye toujours de disloquer. Je le représente aussi sous forme de lettres, de signes, de traits pour en faire un élément d’une calligraphie picturale ».
Depuis 1992, Mohammed Qannibou a enchaîné les expositions individuelles et collectives à travers le Maroc, le monde Arabe et en Europe dont la France.
Ses travaux font également partie de plusieurs institutions et fondations comme la CDG (Rabat), Fondation ONA (Rabat), Banque Populaire (Casablanca), Centre Saoudien d’arts plastiques (Jeddah, Arabie Saoudite), Mairie Cubry Les soins (Vesoul, France), Société LACLIM (Toulouse, France) …